La qualité de l’air respiré a des impacts déterminants sur le bien-être et la santé. Parlant de qualité d’air et dans le même temps de la pollution, les lieux publics sont les plus visés. Or, à comme ces lieux, les logements sont également concernés. Dans ces cas, procéder à une analyse serait la meilleure solution. Pourquoi donc ? Aussi, quels sont les processus à suivre pour tester la qualité d’air de son logement ?
Pourquoi analyser la qualité d’air dans une maison ?
La maison est un refuge permanent pour tous les occupants. Elle doit de ce fait procurer le plus de confort et de bien être possible. La qualité d’air optimale est en effet l’un des facteurs qui contribuent le plus à cette disposition. Cependant, respirer un air de bonne qualité relève d’une importance qui va bien au-delà du confort, car l’inhalation continuelle d’air pollué engendre des conséquences néfastes sur la santé.
Cela pourrait notamment être à l’origine de maux de tête récurrents, d’emphysème pulmonaire, de maladie pulmonaire obstructive chronique et d’asthme. Ainsi, faîtes analyser l’air de votre demeure pour savoir si l’air non sain n’est pas un facteur déclencheur de ces divers maux.
Aussi, soulignons que les problèmes de mauvaise qualité d’air sont liés aux moisissures dans le grenier. Ces dernières sont souvent bien cachées et ne sont pas faciles à percevoir. Pour cela, il est recommandé de faire appel aux services des professionnels de la vérification de qualité d’air comme Benjel. Ceux-ci pourront renseigner sur l’exposition des occupants aux moisissures.
Comment analyser la qualité d’air dans une maison ?
L’analyse de la qualité d’air dans une maison se fait de diverses manières. Il est possible de le faire soi-même en détectant des signes. Cependant, comme déjà annoncé, il serait préférable de faire appel à un professionnel.
Analyser la qualité d’air soi-même.
Avoir l’impression que l’air de sa demeure est surchargé pourrait être un détail qui révèle un doute sur la qualité optimale de l’air. À cela s’ajoutent, les démangeaisons du nez, des yeux et de la gorge.
Aussi, il est recommandé de se procurer un analyseur d’air ambiant qui mesure les paramètres importants. Il s’agit entre autres de la quantité de benzène, de toluène, de xylène et du taux de formaldéhyde. L’appareil doit mesurer non seulement la température d’air, mais aussi l’hygrométrie.
De façon précise, la qualité de l’air doit être remise en cause lorsque la concentration de CO2 est forte. Il en est de même, quant à la présence de capteurs PM 2,5 et de capteurs COV. Par ailleurs, lorsque le capteur d’humidité présente une valeur inférieure à 40 % et supérieure à 60 %, le renouvellement de l’air s’avère nécessaire.
Enfin, il est possible d’analyser la qualité de l’air en installant des détecteurs de monoxyde de carbone. Étant des gaz mortels, leur caractère incolore et inodore leur permet d’agir vite. Ils sont plus utilisés pour remédier à la dangerosité de la gazinière, de la cheminée ou de la poêle.
Faire appel à un professionnel ou à un organisme agréé.
Consulter un professionnel ou un organisme agréé est un moyen sûr pour analyser la qualité de l’air. En effet, ces experts pourront remettre après le diagnostic un rapport détaillé et indiquer au besoin des solutions pour rendre l’air sain. Ils seront également chargés de tester :
- l’exposition aux moisissures ;
- les poussières et allergènes ;
- la fumée de cigarette ;
- les produits de nettoyage ménagers ;
- les gaz ou particules résiduels.
Il est important de bien se renseigner sur les prestations du professionnel ou de l’organisme agréé. En effet, certains spécialistes s’occupent du diagnostic et de la vente de produits ainsi que des équipements nécessaires pour améliorer au besoin la qualité de l’air. Par contre, d’autres équipes expertes et reconnues se focalisent uniquement sur le diagnostic de l’air et de l’environnement intérieurs.
